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Mieux que snake on a plane

The nuclear power plant of Gundremmingen is pictured on March 11, 2012.    REUTERS/Michaela Rehle

La blockbuster Virus on a plane et sa suite Virus in a nuclear power plant.
Un virus a été trouvé dans une centrale nucléaire allemande. La seule sécurité qui a fonctionné et évité une catastrophe? Elle n’était pas connectée à internet.

A nuclear power plant in Germany has been found to be infected with computer viruses, but they appear not to have posed a threat to the facility’s operations because it is isolated from the Internet, the station’s operator said on Tuesday.

Moins grave que Stuxnet de la NSA qui avait défoncé le programme nucléaire iranien, celui-ci n’a pas eu de conséquence directe.

Un peu plus loin dans l’article on trouve cette perle :

As an example, Hypponen said he had recently spoken to a European aircraft maker that said it cleans the cockpits of its planes every week of malware designed for Android phones. The malware spread to the planes only because factory employees were charging their phones with the USB port in the cockpit.

Because the plane runs a different operating system, nothing would befall it. But it would pass the virus on to other devices that plugged into the charger.

En gros, les avions sont submergés par des virus Android, et la seule chose qui fait que cela n’a pas d’incidence est que les avions ont des OS différents et propriétaires.
Le premier qui réussi à coder un virus pour ADA ou Honeywell a gagné.

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Technologie

Un nouveau Rembrandt

Qu’est ce qui fait qu’un Rembrandt est un Rembrandt?
Ses caractéristiques ou son auteur?

En tout cas les faussaires vont perdre leur travail et les conservateurs leur cheveux avec ces toiles peintes par ordinateur…

collaborated to produce a new painting by Rembrandt

Source : A new Rembrandt, painted by data analysis

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Le panel des singes

Quand une pratique rend-elle compte d’un problème systémique?

Face à l’imprégnation de l’homme surexposé à la publicité, les tests de panels deviennent inefficaces. La solution : proposer les panels à des singes, encore vierges d’agression publicitaire.

Plutôt que de réfléchir à changer un système pour le rendre plus efficace et moins intrusif, s’enfoncer plus loin dedans.

Apparemment, les singes ne sont pas maltraités. En tout cas moins que les humains, puisqu’ils sont épargnés de subir l’environnement jugé « stressant » d’une grande surface.

Et si la solution était de rendre la « surface » moins stressante? Moins agressive?